Le Groupe M6, partenaire historique de l’industrie musicale, et le SNEP / la SCPP / la SPPF, annoncent qu’ils signent le renouvellement de leurs accords en cours, auxquels s’associe désormais l’UPFI. Le Groupe M6 affiche ainsi son engagement vis-à-vis des artistes de la musique et des entreprises qui les accompagnent.

Dans les prochaines années : M6 et W9 prolongent avec la SCPP et la SPPF l’accord sur les vidéomusiques. M6 et W9 prolongent avec le SNEP l’accord sur au moins 9 émissions musicales par an en première partie de soirée, consacrées aux variétés, à la musique interprétée et aux nouveautés de l’année. L’UPFI est pleinement associée à ces accords.

Concernant les musiques, M6, W9, le SNEP, la SCPP, la SPPF et l’UPFI continueront de veiller à l’exposition de la production musicale des labels dans toute leur diversité ; en tant que diffuseurs et producteurs, ils affichent aussi des ambitions communes sur la présence des artistes féminines à l’antenne et leur représentation au sein des diffusions musicales dans leur ensemble.

 

Avec une progression de 8.2% au 1er semestre et un chiffre d’affaires de 364,4 M€ le marché de la musique enregistrée affiche une nouvelle fois un résultat positif

Télécharger le bilan marché de la musique enregistrée du 1er semestre 2022

 

Si le vinyle continue de réaliser de beaux scores (+15%), c’est le streaming par abonnement qui porte l’essentiel de cette croissance (12.8%).

A noter également la progression sensible des revenus du streaming vidéo (+37.6%) qui réalise pour la première fois 10% des ventes de musique. Ce résultat appréciable ne doit néanmoins pas masquer le fait que les revenus générés par les plateformes de streaming vidéo ne concourent pas encore aux revenus du secteur à la hauteur de l’usage massif qu’en font les Français.

Par ailleurs, le CD, qui fête son 40ème anniversaire, reste la deuxième source de revenus au cours des 6 premiers mois de cette année. La baisse constatée de son chiffre d’affaires au cours du premier semestre doit être appréciée au regard de la saisonnalité marquée des ventes physiques, traditionnellement concentrées sur la fin de l’année.

Satisfaisante, la progression globale du marché doit néanmoins être mise en perspective avec la conjoncture inflationniste actuelle dont on ne peut encore mesurer les conséquences sur notre secteur.

Alexandre Lasch, directeur général déclare : « dans le contexte actuel, les producteurs de musique seront très attentifs à ce que des éléments extérieurs ne viennent pas perturber cette dynamique tout juste retrouvée. Notre vigilance s’attachera particulièrement au respect par le gouvernement de son engagement à ne pas créer de nouvelle taxe.

A la veille des débats budgétaires au parlement, les réflexions en cours sur le financement du CNM ne doivent pas conduire à l’accroissement de la pression fiscale sur les revenus du streaming. Cette éventualité ferait peser des risques lourds de répercussions sur les consommateurs au détriment de l’usage et du développement de ce marché. »

 

Contact : Patricia Sarrant – 01 47 38 04 04

23 mai 2022

Les producteurs de musique enregistrée saluent la nomination de Rima Abdul-Malak au ministère de la Culture

Les producteurs de musique enregistrée du SNEP félicitent chaleureusement Rima Abdul-Malak pour sa nomination à la tête du ministère de la Culture et lui adressent tous leurs vœux de succès. Sa parfaite connaissance des dossiers et l’ambition qu’elle partage avec le Président de la République, notamment pour la souveraineté culturelle et le développement des industries créatives, sont des signaux clairs qui encouragent les professionnels à agir avec toujours plus d’audace pour la diversité et le rayonnement des productions françaises. 

Des enjeux structurants pour notre industrie vont se poser avec acuité dans les semaines à venir, parmi lesquels le financement du Centre national de la musique, la prolongation du fonds de soutien d’aide à l’emploi artistique pour les labels TPE ou l’avenir du crédit d’impôt phonographique. Sur ces priorités comme sur la feuille de route culturelle du gouvernement, les producteurs du SNEP sont à l’entière disposition de la Ministre pour poursuivre des échanges toujours constructifs et travailler au service de la profession.

Les producteurs du SNEP remercient enfin Roselyne Bachelot pour son engagement aux côtés de l’industrie musicale, tant pour la gestion de la crise Covid que pour le renforcement du CIPP, la défense de la copie privée et des droits de propriété intellectuelle en France et en Europe.

Ils saluent également la mise en place des conditions qui ont permis au secteur de conclure, ces tous derniers jours, un accord majeur avec les organisations d’artistes-interprètes sur la rémunération du streaming. A cet égard, les producteurs savent qu’ils pourront compter sur la nouvelle Ministre et ses équipes pour la mise en œuvre de cet accord fondateur. 

Le SNEP se mobilise aux côtés des organisations membres de la FESAC – Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, d’audiovisuel et du cinéma – pour porter les propositions d’un plan de relance, indispensable pour faire face aux challenges créés par la crise sanitaire du Covid-19.

Durement touchés cette année par la chute des ventes, les producteurs de musique seront aussi très impactés l’an prochain par l’écroulement des droits voisins : les labels du SNEP font 7 propositions pour sauvegarder et encourager la diversité musicale en France.

COMMUNIQUE #SCPP

Face à la crise sanitaire, la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques) lance un plan de soutien d’un montant de 9 millions € à destination de ses membres producteurs phonographiques. Le plan de soutien comprend deux volets : des aides financières destinées exclusivement aux producteurs indépendants, à hauteur de 5,2M€, et des aides à la création pour favoriser la relance de l’activité à l’issue du confinement, à hauteur de 3,8M€. Près de 75% du montant total de ce plan de soutien devrait ainsi bénéficier aux 3000 producteurs indépendants de la SCPP.

Ce plan de soutien de la SCPP de 9 millions € intervient après l’adoption d’un Fonds de secours par le CNM, destiné exclusivement à certaines entreprises du spectacle vivant, l’adoption par la SACEM d’un plan de mesures d’urgence destiné à ses membres auteurs, compositeurs et éditeurs de musique et la mise en place par la SPPF d’avances exceptionnelles sur des répartitions prévues en 2021, à destination de ses membres producteurs phonographiques.
L’ensemble de ce plan de soutien est exclusivement financé par des sommes affectées aux aides à la création prévues à l’article L.324-17 du Code de la Propriété Intellectuelle. La SCPP remercie vivement le Premier Ministre, M. Edouard PHILIPPE et le Ministre de la Culture, M.
Frank RIESTER, pour avoir pris l’ordonnance du 27 mars 2020, ayant permis que des sommes visées à cet article du CPI soient utilisées à des fins d’aides financières jusqu’au 31 décembre 2020.

La SCPP espère que ce plan de soutien, qui manifeste la solidarité entre eux des différents membres de la SCPP, quelle que soit leur taille, permettra à l’ensemble de ses membres de surmonter les difficultés créées par la crise sanitaire et favorisera le redémarrage de leur activité.

Toutes les explications sur le site de la SCPP, par ici.


Informations presse : SCPP – Anouchka Roggeman – 06 61 89 59 63 – anouchka.roggeman@scpp.fr

La SCPP, société civile des producteurs phonographiques, est une société de perception et de répartition des rémunérations perçues pour le compte de ses membres auprès des utilisateurs de phonogrammes et de vidéomusiques. Plus de 3000 producteurs de musique sont actuellement membres de la SCPP, qui réunit la majorité des producteurs indépendants français et les sociétés internationales comme Sony, Universal et Warner. Aussi, la SCPP défend les droits de ses membres,lutte contre la piraterie et aide la création musicale. www.scpp.fr @scppinfo #scpp

Paris, le 19 novembre 2014

Lien http://www.copieprivee.org
Tags Copie privée/ Conseil d’Etat / D15/ Adami / Adagp / Spedidam/ Procirep / Sacem / Sacd / Scam / Sppf / Sofia / Sorimage

L’association La Culture avec la copie privée accueille avec satisfaction les décisions du Conseil d’Etat* publiées ce jour et validant les barèmes relatifs à la rémunération pour copie privée adoptées en 2012.

Ces décisions permettent de conforter un dispositif qui assure aux auteurs, aux artistes et aux producteurs la perception d’une rémunération en contrepartie de la liberté accordée au public de copier des oeuvres pour son usage personnel.

L’association rappelle également que, grâce à ces décisions, c’est aussi un pan important du financement de l’action culturelle dans notre pays qui se trouve consolidé.

Au titre de la loi Lang de 1985 qui a créé la rémunération pour copie privée, il est ainsi prévu que 25% des sommes collectées sont utilisées pour des actions d’aide à la création, à la diffusion, au spectacle vivant et à la formation d’artistes et d’auteurs. Assurée par les sociétés de perception et de répartition des droits, ces actions culturelles représentent près de 50 millions d’euros par an et plus de 5 000 initiatives soutenues sur tout le territoire français, dans tous les genres et secteurs culturels.

*S./sect. réunies, 19 novembre 2014, 1) Société Research in Motion, 2) Société Canal Plus Distribution

Contacts
· ADAGP / SORIMAGE : Gabrielle de Préval 06 64 96 09 50
· ADAMI : Benjamin Sauzay 07 86 95 55 94
· ARP : Marc Legrand 01 53 42 40 01
· PROCIREP : Sylvie Monin 01 53 83 91 85
· SACD : Agnès Mazet 01 40 23 45 11
· SACEM : Elisabeth Anselin 01 47 15 45 32
· SAIF : Olivier Brillanceau 01 44 61 07 82
· SCAM : Astrid Lockhart 01 56 69 64 05
· SOFIA : Florence-Marie Piriou 01 44 07 06 66
· SPEDIDAM : Jean-Pierre Jussey 01 44 18 58 84
· SPPF : Valérie Thieulent 01 53 77 66 55

Lancement du TOP STREAMING AUDIO

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10 septembre 2014 : Lancement du TOP STREAMING AUDIO

 

Les producteurs de musique membres du SNEP et les plateformes de streaming annoncent aujourd’hui la mise en place d’un classement hebdomadaire des meilleures écoutes en streaming, dont la première publication aura lieu le 10 septembre.

 

Les usages en matière de musique numérique ont en effet considérablement évolué ces dernières années et le streaming est désormais en France le mode de consommation en ligne prépondérant, devançant même depuis quelques mois la pratique du téléchargement à l’acte.

La mesure officielle des performances des titres en streaming est donc devenue un outil indispensable d’appréciation du marché de la musique enregistrée.

Le Top streaming, comme les classements des meilleures ventes (physiques et en téléchargement) sera réalisé par l’institut GFK. Il regroupera chaque semaine les 200 meilleures écoutes des plateformes membres de l’ESML* (Deezer, Orange, Fnac, music Me) ainsi que celles de Spotify, Google Play, Napster, Qobuz et Xbox sur les offres payantes et gratuites (financées par la publicité) proposées par ces plateformes. La méthodologie adoptée correspond aux préconisations de l’IFPI : une écoute gratuite sera égale à une écoute payante. La durée d’écoute pour la prise en compte d’un titre sera de 30 secondes minimum.

Afin de disposer d’un classement général des meilleures ventes de titres tous canaux de distribution confondus, le Top streaming sera agrégé dès octobre avec le Top téléchargement actuel.

Dans les mois à venir, les certifications délivrées par le SNEP (Disques d’or, de platine, de diamant) prendront également en compte les scores réalisés en streaming.

Guillaume Leblanc, Directeur Général du SNEP déclare : « Le streaming s’affirme aujourd’hui  comme le mode principal de consommation de la musique en ligne en France. Afin de prendre en compte ces nouveaux usages, l’industrie musicale se dote d’un nouveau classement pour mesurer les succès des artistes sur ces plateformes auprès de leur public. Trente ans après la naissance du Top 50, la création de ce Top streaming illustre l’attention que portent le SNEP et ses partenaires à la migration des usages en ligne ».

 

Ludovic Pouilly, Président de l’ESML, ajoute : « Les Editeurs de Service de Musique en Ligne (ESML) se réjouissent du lancement de ce nouveau classement, tant attendu. C’est un excellent signe envoyé par l’industrie musicale, une reconnaissance du streaming comme mode majeur de consommation de la musique numérique. Nous allons poursuivre notre étroite collaboration avec le SNEP afin de proposer prochainement des classements toujours plus innovants et adaptés à la réalité des usages. »

Selon Yann Thébault, Directeur Général de Spotify Europe du sud : «  Avec la croissance rapide des services de streaming, les professionnels de l’industrie musicale et les médias utilisent de plus en plus le nombre d’écoutes sur Spotify et les autres services de streaming comme un indicateur de succès d’un titre. Les tops du SNEP sont depuis 30 ans le reflet des goûts musicaux des français et c’est une très bonne chose que les nouvelles formes de consommation musicale y soient intégrées pour mieux refléter le réel succès d’un titre ».

Pour Paolo Galli, Directeur Musique de GfK Entertainment : « Le nouveau Top Streaming que GfK Entertainment a l’honneur de produire est une nouvelle étape dans son suivi des nouvelles pratiques des consommateurs de contenus culturels. D’autres analyses centrées sur le Streaming viendront très bientôt compléter nos services pour répondre efficacement aux problématiques de tous les acteurs de la filière musicale ».

 

Contact SNEP – Guillaume LEBLANC : 01 47 38 04 04

Télécharger le Dossier de Presse Télécharger le Communiqué de Presse
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*ESML est le syndicat des éditeurs de service de musique en ligne. Il a pour objet de favoriser le développement durable du  marché légal de la musique numérique. Ses membres: DEEZER, FNAC, ORANGE, ICONCERTS, MUSIC ME, STARZIK, GESTE

La nomination de Fleur Pellerin au ministère de la Culture et de la Communication constitue un signal positif pour les producteurs membres du SNEP.

Son  expertise reconnue de l’écosystème numérique constitue un atout indéniable pour accompagner la filière musicale et le métier de producteur dans la mutation du marché de la musique, notamment concernant les enjeux de régulation contre le piratage ou de financement de la filière.

Fleur Pellerin a également su démontrer précédemment son attachement et son efficacité à valoriser les talents français dans un marché mondialisé. Puisse-t-elle avoir la même énergie pour valoriser l’exportation de la musique française ! Puisse-t-elle avoir la même pour défendre la diversité musicale dans les médias !

Sur tous ces enjeux, les  producteurs membres du SNEP sont prêts à ouvrir un dialogue constructif avec la nouvelle ministre.

Contact : Guillaume LEBLANC : 01 47 38 04 04

Neuilly, le 18 décembre  2014

Twitter : @SNEP / Tag : #CIphono

 

La production musicale en France confortée par les pouvoirs publics

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Les producteurs membres du Syndicat National de l’Edition Phonographique (SNEP) saluent l’adoption par le Parlement de la réforme du crédit d’impôt à la production phonographique dans le cadre de la loi de finances rectificative 2014.

Dans un contexte de restructuration du marché de la musique autour des nouveaux usages en ligne, il est plus que jamais indispensable de poursuivre le soutien au dynamisme de la production locale, qui représente 70% du marché français de la musique enregistrée.  La prorogation et le renforcement du dispositif pour 3 nouvelles années donnent aux producteurs phonographiques de notre pays les moyens de continuer à investir, développer et promouvoir de nouveaux talents.

Ce crédit d’impôt prolongé et amélioré va également permettre d’irriguer toute la filière musicale,  grâce à la création de valeur issue du développement de ces nouveaux projets artistiques.

Malgré un contexte budgétaire difficile, le Gouvernement et la ministre de la Culture et de la Communication Fleur Pellerin témoignent, en ayant porté ces mesures, de leur soutien concret  en faveur de la création, de la diversité musicale et du renouvellement des talents.

 

Contact : Guillaume LEBLANC – 01 47 38 04 04