Comment les sites pirates s’enrichissent grâces aux investissements publicitaires des grandes marques

La santé florissante des sites pirates s’explique par les profits qu’ils génèrent, titre le Mercury News. En se basant sur les résultats de l’étude réalisée par l’association Digital Citizen’s Alliance, une association basée à Washington qui se bat pour un Internet plus respectueux et plus sûr, le Mercury News soulève le voile sur un réseau de plus de 590 sites pirates bénéficiant des publicités de très grandes marques comme Walmart, McDonalds, Google ou Microsoft.
L’article livre une analyse pertinente et sans tabous d’une triste réalité : en mettant en ligne des contenus illégalement – films, séries télés et bien sûr musiques – ces sites attirent de nombreux visiteurs qu’ils convertissent ensuite en prospects potentiels pour les annonceurs.

En masquant parfois leurs activités derrière des sites en apparence légaux, ils attirent chaque année plusieurs millions de dollars d’investissements publicitaires.
Un article qui témoigne que le fléau du piratage a les mêmes causes et les mêmes conséquences partout dans le monde et qui confirme la pertinence  du  constat et des préconisations du rapport de Mireille Imbert-Quaretta sur les outils opérationnels de prévention et de lutte contre la contrefaçon en ligne .

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