Avec une progression de 8.2% au 1er semestre et un chiffre d’affaires de 364,4 M€ le marché de la musique enregistrée affiche une nouvelle fois un résultat positif

Télécharger le bilan marché de la musique enregistrée du 1er semestre 2022

 

Si le vinyle continue de réaliser de beaux scores (+15%), c’est le streaming par abonnement qui porte l’essentiel de cette croissance (12.8%).

A noter également la progression sensible des revenus du streaming vidéo (+37.6%) qui réalise pour la première fois 10% des ventes de musique. Ce résultat appréciable ne doit néanmoins pas masquer le fait que les revenus générés par les plateformes de streaming vidéo ne concourent pas encore aux revenus du secteur à la hauteur de l’usage massif qu’en font les Français.

Par ailleurs, le CD, qui fête son 40ème anniversaire, reste la deuxième source de revenus au cours des 6 premiers mois de cette année. La baisse constatée de son chiffre d’affaires au cours du premier semestre doit être appréciée au regard de la saisonnalité marquée des ventes physiques, traditionnellement concentrées sur la fin de l’année.

Satisfaisante, la progression globale du marché doit néanmoins être mise en perspective avec la conjoncture inflationniste actuelle dont on ne peut encore mesurer les conséquences sur notre secteur.

Alexandre Lasch, directeur général déclare : « dans le contexte actuel, les producteurs de musique seront très attentifs à ce que des éléments extérieurs ne viennent pas perturber cette dynamique tout juste retrouvée. Notre vigilance s’attachera particulièrement au respect par le gouvernement de son engagement à ne pas créer de nouvelle taxe.

A la veille des débats budgétaires au parlement, les réflexions en cours sur le financement du CNM ne doivent pas conduire à l’accroissement de la pression fiscale sur les revenus du streaming. Cette éventualité ferait peser des risques lourds de répercussions sur les consommateurs au détriment de l’usage et du développement de ce marché. »

 

Contact : Patricia Sarrant – 01 47 38 04 04

23 mai 2022

Les producteurs de musique enregistrée saluent la nomination de Rima Abdul-Malak au ministère de la Culture

Les producteurs de musique enregistrée du SNEP félicitent chaleureusement Rima Abdul-Malak pour sa nomination à la tête du ministère de la Culture et lui adressent tous leurs vœux de succès. Sa parfaite connaissance des dossiers et l’ambition qu’elle partage avec le Président de la République, notamment pour la souveraineté culturelle et le développement des industries créatives, sont des signaux clairs qui encouragent les professionnels à agir avec toujours plus d’audace pour la diversité et le rayonnement des productions françaises. 

Des enjeux structurants pour notre industrie vont se poser avec acuité dans les semaines à venir, parmi lesquels le financement du Centre national de la musique, la prolongation du fonds de soutien d’aide à l’emploi artistique pour les labels TPE ou l’avenir du crédit d’impôt phonographique. Sur ces priorités comme sur la feuille de route culturelle du gouvernement, les producteurs du SNEP sont à l’entière disposition de la Ministre pour poursuivre des échanges toujours constructifs et travailler au service de la profession.

Les producteurs du SNEP remercient enfin Roselyne Bachelot pour son engagement aux côtés de l’industrie musicale, tant pour la gestion de la crise Covid que pour le renforcement du CIPP, la défense de la copie privée et des droits de propriété intellectuelle en France et en Europe.

Ils saluent également la mise en place des conditions qui ont permis au secteur de conclure, ces tous derniers jours, un accord majeur avec les organisations d’artistes-interprètes sur la rémunération du streaming. A cet égard, les producteurs savent qu’ils pourront compter sur la nouvelle Ministre et ses équipes pour la mise en œuvre de cet accord fondateur. 

Le SNEP se mobilise aux côtés des organisations membres de la FESAC – Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, d’audiovisuel et du cinéma – pour porter les propositions d’un plan de relance, indispensable pour faire face aux challenges créés par la crise sanitaire du Covid-19.

Durement touchés cette année par la chute des ventes, les producteurs de musique seront aussi très impactés l’an prochain par l’écroulement des droits voisins : les labels du SNEP font 7 propositions pour sauvegarder et encourager la diversité musicale en France.

COMMUNIQUE #SCPP

Face à la crise sanitaire, la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques) lance un plan de soutien d’un montant de 9 millions € à destination de ses membres producteurs phonographiques. Le plan de soutien comprend deux volets : des aides financières destinées exclusivement aux producteurs indépendants, à hauteur de 5,2M€, et des aides à la création pour favoriser la relance de l’activité à l’issue du confinement, à hauteur de 3,8M€. Près de 75% du montant total de ce plan de soutien devrait ainsi bénéficier aux 3000 producteurs indépendants de la SCPP.

Ce plan de soutien de la SCPP de 9 millions € intervient après l’adoption d’un Fonds de secours par le CNM, destiné exclusivement à certaines entreprises du spectacle vivant, l’adoption par la SACEM d’un plan de mesures d’urgence destiné à ses membres auteurs, compositeurs et éditeurs de musique et la mise en place par la SPPF d’avances exceptionnelles sur des répartitions prévues en 2021, à destination de ses membres producteurs phonographiques.
L’ensemble de ce plan de soutien est exclusivement financé par des sommes affectées aux aides à la création prévues à l’article L.324-17 du Code de la Propriété Intellectuelle. La SCPP remercie vivement le Premier Ministre, M. Edouard PHILIPPE et le Ministre de la Culture, M.
Frank RIESTER, pour avoir pris l’ordonnance du 27 mars 2020, ayant permis que des sommes visées à cet article du CPI soient utilisées à des fins d’aides financières jusqu’au 31 décembre 2020.

La SCPP espère que ce plan de soutien, qui manifeste la solidarité entre eux des différents membres de la SCPP, quelle que soit leur taille, permettra à l’ensemble de ses membres de surmonter les difficultés créées par la crise sanitaire et favorisera le redémarrage de leur activité.

Toutes les explications sur le site de la SCPP, par ici.


Informations presse : SCPP – Anouchka Roggeman – 06 61 89 59 63 – anouchka.roggeman@scpp.fr

La SCPP, société civile des producteurs phonographiques, est une société de perception et de répartition des rémunérations perçues pour le compte de ses membres auprès des utilisateurs de phonogrammes et de vidéomusiques. Plus de 3000 producteurs de musique sont actuellement membres de la SCPP, qui réunit la majorité des producteurs indépendants français et les sociétés internationales comme Sony, Universal et Warner. Aussi, la SCPP défend les droits de ses membres,lutte contre la piraterie et aide la création musicale. www.scpp.fr @scppinfo #scpp

Lancement du TOP STREAMING AUDIO

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10 septembre 2014 : Lancement du TOP STREAMING AUDIO

 

Les producteurs de musique membres du SNEP et les plateformes de streaming annoncent aujourd’hui la mise en place d’un classement hebdomadaire des meilleures écoutes en streaming, dont la première publication aura lieu le 10 septembre.

 

Les usages en matière de musique numérique ont en effet considérablement évolué ces dernières années et le streaming est désormais en France le mode de consommation en ligne prépondérant, devançant même depuis quelques mois la pratique du téléchargement à l’acte.

La mesure officielle des performances des titres en streaming est donc devenue un outil indispensable d’appréciation du marché de la musique enregistrée.

Le Top streaming, comme les classements des meilleures ventes (physiques et en téléchargement) sera réalisé par l’institut GFK. Il regroupera chaque semaine les 200 meilleures écoutes des plateformes membres de l’ESML* (Deezer, Orange, Fnac, music Me) ainsi que celles de Spotify, Google Play, Napster, Qobuz et Xbox sur les offres payantes et gratuites (financées par la publicité) proposées par ces plateformes. La méthodologie adoptée correspond aux préconisations de l’IFPI : une écoute gratuite sera égale à une écoute payante. La durée d’écoute pour la prise en compte d’un titre sera de 30 secondes minimum.

Afin de disposer d’un classement général des meilleures ventes de titres tous canaux de distribution confondus, le Top streaming sera agrégé dès octobre avec le Top téléchargement actuel.

Dans les mois à venir, les certifications délivrées par le SNEP (Disques d’or, de platine, de diamant) prendront également en compte les scores réalisés en streaming.

Guillaume Leblanc, Directeur Général du SNEP déclare : « Le streaming s’affirme aujourd’hui  comme le mode principal de consommation de la musique en ligne en France. Afin de prendre en compte ces nouveaux usages, l’industrie musicale se dote d’un nouveau classement pour mesurer les succès des artistes sur ces plateformes auprès de leur public. Trente ans après la naissance du Top 50, la création de ce Top streaming illustre l’attention que portent le SNEP et ses partenaires à la migration des usages en ligne ».

 

Ludovic Pouilly, Président de l’ESML, ajoute : « Les Editeurs de Service de Musique en Ligne (ESML) se réjouissent du lancement de ce nouveau classement, tant attendu. C’est un excellent signe envoyé par l’industrie musicale, une reconnaissance du streaming comme mode majeur de consommation de la musique numérique. Nous allons poursuivre notre étroite collaboration avec le SNEP afin de proposer prochainement des classements toujours plus innovants et adaptés à la réalité des usages. »

Selon Yann Thébault, Directeur Général de Spotify Europe du sud : «  Avec la croissance rapide des services de streaming, les professionnels de l’industrie musicale et les médias utilisent de plus en plus le nombre d’écoutes sur Spotify et les autres services de streaming comme un indicateur de succès d’un titre. Les tops du SNEP sont depuis 30 ans le reflet des goûts musicaux des français et c’est une très bonne chose que les nouvelles formes de consommation musicale y soient intégrées pour mieux refléter le réel succès d’un titre ».

Pour Paolo Galli, Directeur Musique de GfK Entertainment : « Le nouveau Top Streaming que GfK Entertainment a l’honneur de produire est une nouvelle étape dans son suivi des nouvelles pratiques des consommateurs de contenus culturels. D’autres analyses centrées sur le Streaming viendront très bientôt compléter nos services pour répondre efficacement aux problématiques de tous les acteurs de la filière musicale ».

 

Contact SNEP – Guillaume LEBLANC : 01 47 38 04 04

Télécharger le Dossier de Presse Télécharger le Communiqué de Presse
Télécharger l’infographie « Le Streaming en France : un usage qui prend son essor » Télécharger l'infographie

 

*ESML est le syndicat des éditeurs de service de musique en ligne. Il a pour objet de favoriser le développement durable du  marché légal de la musique numérique. Ses membres: DEEZER, FNAC, ORANGE, ICONCERTS, MUSIC ME, STARZIK, GESTE

La nomination de Fleur Pellerin au ministère de la Culture et de la Communication constitue un signal positif pour les producteurs membres du SNEP.

Son  expertise reconnue de l’écosystème numérique constitue un atout indéniable pour accompagner la filière musicale et le métier de producteur dans la mutation du marché de la musique, notamment concernant les enjeux de régulation contre le piratage ou de financement de la filière.

Fleur Pellerin a également su démontrer précédemment son attachement et son efficacité à valoriser les talents français dans un marché mondialisé. Puisse-t-elle avoir la même énergie pour valoriser l’exportation de la musique française ! Puisse-t-elle avoir la même pour défendre la diversité musicale dans les médias !

Sur tous ces enjeux, les  producteurs membres du SNEP sont prêts à ouvrir un dialogue constructif avec la nouvelle ministre.

Contact : Guillaume LEBLANC : 01 47 38 04 04

Neuilly, le 18 décembre  2014

Twitter : @SNEP / Tag : #CIphono

 

La production musicale en France confortée par les pouvoirs publics

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Les producteurs membres du Syndicat National de l’Edition Phonographique (SNEP) saluent l’adoption par le Parlement de la réforme du crédit d’impôt à la production phonographique dans le cadre de la loi de finances rectificative 2014.

Dans un contexte de restructuration du marché de la musique autour des nouveaux usages en ligne, il est plus que jamais indispensable de poursuivre le soutien au dynamisme de la production locale, qui représente 70% du marché français de la musique enregistrée.  La prorogation et le renforcement du dispositif pour 3 nouvelles années donnent aux producteurs phonographiques de notre pays les moyens de continuer à investir, développer et promouvoir de nouveaux talents.

Ce crédit d’impôt prolongé et amélioré va également permettre d’irriguer toute la filière musicale,  grâce à la création de valeur issue du développement de ces nouveaux projets artistiques.

Malgré un contexte budgétaire difficile, le Gouvernement et la ministre de la Culture et de la Communication Fleur Pellerin témoignent, en ayant porté ces mesures, de leur soutien concret  en faveur de la création, de la diversité musicale et du renouvellement des talents.

 

Contact : Guillaume LEBLANC – 01 47 38 04 04

 

 

For further information please contact Adrian Strain or Alex Jacob

+44 (0) 20 7878 7939, +44 (0) 20 7878 7940

 

PRESS RELEASE

 

IFPI publishes RECORDING INDUSTRY IN NUMBERS – an essential guide to global markets

RIN 2014

 

London, 1st April 2014 – IFPI today publishes its annual Recording Industry in Numbers, providing comprehensive data for 50 territories and in-depth analysis of industry and consumer trends across the global music sector.

 

The Recording Industry in Numbers (RIN) is the essential guide to the global music business, containing a wealth of definitive data exclusively compiled by IFPI.  Key highlights of the 2013 edition include:

 

  • Revenue streams. Detailed analysis of the industry’s diverse and evolving revenue streams, such as streaming and subscription services complementing existing formats. Global digital revenues in 2013 totalled US$5.9 billion, with subscription streams revenue more than tripling to US$1.1 billion in the last three years.

 

  • Market trends. Comprehensive data on global, regional and national music market trends, focusing both on 2013 and recent years.  Six of the top ten markets saw growth in 2013, while in eight of the top 20 music markets digital is now the dominant source of revenue.

 

  • Emerging markets. Review of key trends in emerging markets, where digital revenues are growing fast alongside the spread of licensed services and the move to mobile.  Latin America is the region with the fastest digital growth in recent years, with revenues up 124% between 2010 and 2013. There are strong growth projections in Africa, analysed in the RIN for the first time.

 

  • Consumer research. New third party research showing changing consumer behaviour, with data and analysis on how internet users are accessing music from both licensed and unlicensed sources. The RIN features exclusive data from Ipsos MediaCT.

 

  • China. An in-depth case study on the prospects for the development of a licensed business market in Chinaa market of huge untapped potential long stunted by piracy, where the landscape is changing.

 

  • Global charts. IFPI compiled three definitive global charts including the Top 50 Global Albums Chart and the Top 10 Global Singles Chart of 2013. In 2014 the charts are changing:  Top Global Singles now incorporates streaming and, for the first time, the new Global Recording Artist Chart, topped by One Direction, honours the most popular artists across physical formats, downloads and streaming.

 

  • Innovations in digital services. Analysis of the latest developments among the world’s 450+ digital services, focusing in particular on the major international services. This year’s edition includes commentary from global consultancy Deloitte and leading digital service Spotify.

 

  • Multiple platforms and new frontiers.  Analysis of the key developments as music goes multi-device and multi-platform, and a look at what’s ahead as music players integrate into the cars and homes of the future.

 

Frances Moore, chief executive of IFPI, says:  “IFPI’s Recording Industry in Numbers once again provides an unrivalled analysis of the global recorded music industry, examining the latest international trends and providing detailed figures from 50 territories worldwide.

 

“The broad picture that emerges is of an extremely diverse industry.  Most of our major markets have stabilised, digital continues to grow, revenue streams have diversified and we are starting to deliver on the huge potential in emerging markets. Against this, there were sharply declining revenues in Japan, a market which accounts for one-fifth of global revenues and is right at the start of its digital transition.  Yet the difficulties in one market, however large, should not divert us from a broader story of digital opportunity.”

 

IFPI’s Recording Industry in Numbers is available free to IFPI members and can be purchased by non-members here.

– Ends –

For further information please contact Adrian Strain or Alex Jacob

Tel.  +44 (0)20 7878 7939 / 7940

Notes to editors:

About IFPI

IFPI is the organisation that promotes the interests of the international recording industry worldwide. Its membership comprises some 1,300 major and independent companies in more than 66 countries. It also has affiliated industry national groups in 55 countries. IFPI’s mission is to promote the value of recorded music, safeguard the rights of record producers and expand the commercial uses of recorded music in all markets where its members operate.

 

 

Headline data from Recording Industry in Numbers 2014:

 

  • Overall global recorded music trade revenues declined by 3.9 per cent in 2013.  This was heavily influenced by the 16.7 per cent decline in Japan, a market at the start of its digital transition.  Excluding Japan, global revenues were essentially flat, declining by 0.1 per cent.  Europe saw growth for the first time in 12 years and the market also increased in value in North America and Latin America.

 

  • The US remains at the head of the top 20 markets table and saw consolidation in 2013; the top six markets in Europe – France, Germany, Italy, Netherlands, Sweden and the UK – all saw growth.  There was strong digital growth in many emerging markets including Argentina (+68.5%), Peru (+148.5%), South Africa (+106.8%) and Venezuela (+84.9%).

 

  • Revenue from digital channels increased by 4.3 per cent in 2013 and now accounts for 39 per cent of overall industry trade revenues.  Downloads remain the biggest source of digital revenues, accounting for 67 per cent of the digital market in 2013.

 

  • Revenues from subscription services surged by 51.3 per cent in 2013, passing the US$1 billion mark for the first time.  Global revenues from subscription and advertising-supported streams now account for 27 per cent of digital revenues, up from 14 per cent in 2011.  It is estimated that more than 28 million people worldwide now pay for a music subscription, up from 20 million in 2012 and just eight million in 2010.  Music subscription, which has helped transform Sweden and Norway in recent years, is now having a similar positive impact in Denmark and Netherlands.

 

  • Global performance rights revenue crossed the US$1 billion threshold in 2013.   This income from broadcasts and public performance  increased by 19.0 per cent in 2013 to hit US$1.1 billion, now accounting for 7 per cent of total record industry revenue.

 

  • The IFPI Global Recording Artist Chart was topped by One Direction.  The chart captured the popularity of artists across multiple licensed channels, including streams on access services such as YouTube and Spotify as well as ownership services such as download stores and physical sales across 2013.  One Direction also topped the Top 50 Global Albums Chart with Midnight Memories, while the Top 10 Global Singles Chart was topped by Robin Thicke featuring T.I and Pharrell Williams with Blurred Lines.

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Neuilly, le 19 juin 2014

Twitter : @SNEP / Tags : #snep –  #musique – #numérique

 

A l’occasion de l’Assemblée Générale annuelle du SNEP qui s’est tenue ce jeudi 19 juin, Stéphane Le Tavernier Président de Sony Music Entertainment France a été réélu à l’unanimité Président du Syndicat pour un mandat de deux ans. Par ailleurs, Yves Riesel, Président d’Abeille Musique a également été réélu Vice-Président pour un mandat de deux ans.

Le Conseil Syndical du SNEP, renouvelé pour 2 ans également est composé de :

Bertrand Burgalat                           Tricatel

Thierry Chassagne                          Warner Music

Eric Hauville                                     Pschent

Stéphane Le Tavernier                   Sony Music

Pascal Nègre                                    Universal Music

Yves Riesel                                        Abeille Musique 

 

Les producteurs de musique membres du SNEP sont plus que jamais mobilisés pour faire du défi numérique une promesse de succès, en développant sans relâche la dynamique et la diversité de la production locale, en France comme à l’international.

Stéphane Le Tavernier déclare « Si la filière musicale s’est donnée les moyens de construire son propre destin et est aujourd’hui à la pointe de cette révolution numérique, l’enjeu pour les producteurs de musique en France est désormais de poursuivre cette mutation dans un cadre sécurisé et incitatif, grâce au respect de quelques règles de bases. La lutte contre la concurrence déloyale du piratage, une amélioration sensible de l’exposition de nos nouveaux talents dans les médias traditionnels et la mise en œuvre de nouveaux moyens pour l’export de la musique française constituent en ce sens des priorités pour notre profession. ».

 

Le SNEP publie également aujourd’hui l’édition 2014 de «L’économie de la production musicale enregistrée », disponible sur snepmusique.com http://bit.ly/GuideEco2014

Toutes les données du marché : France, Monde , distribution, médias, consommation

 

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Stéphane Le Tavernier est né le 28 septembre 1966 à Toulouse, il est diplômé de l’ESSEC.

Il a rejoint l’industrie musicale chez BMG au sein du label RCA, puis chez Sony Music au sein du label EPIC. En 1999 il participe à la création de la société Zomba Records France et en prend la Direction Générale en 2005 à l’issue de son rachat par BMG.

En 2003 à la fusion des sociétés BMG et Sony Music, il réunit les labels Jive et Epic et en prend la Direction Générale. Nommé Directeur Général de Sony Music France en Juin 2007, il en prend la Présidence en Mars 2010. Il devient Président du SNEP en juin 2012.

Contact SNEP : Patricia Sarrant : 01 47 38 04 04 / 06 46 39 40 31

Mail : patricia.sarrant@snepmusique.com