Le festival de musiques du monde « Babel Med Music » a annoncé l’annulation de son édition 2018, suite à l’importante diminution de la subvention attribuée par la Région PACA.

 Une diminution brutale, à quelques semaines du festival, avec pour les artistes programmés, l’annulation en dernière minute de leurs concerts et showcases.

 Pour l’association « Tous Pour la Musique » (TPLM), cette annulation constitue un signal très négatif pour la Musique.

 Plus de 10.000 spectateurs assistent chaque année aux nombreux concerts et showcases permettant la découverte de nouveaux talents au Babel Med Music.

 Babel Med Music est également un salon professionnel dédié aux musiques du monde, inscrit depuis treize ans dans l’agenda de la filière musicale, en France et à l’international ; un temps fort permettant la mise en lumière de la musique dans toute sa diversité.

 TPLM s’inquiète du désengagement des territoires sur certains projets, au moment où de nombreuses études montrent que chaque Euro investi dans la Culture produit de multiples retombées économiques et sociales sur les territoires.

 TPLM est mobilisée pour que la Musique ait toute sa place, au cœur des territoires, en France, à l’international, dans toute sa diversité.

 Contact : Aude Tillette  – contact@tplmusique.org

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DONNONS A LA PRODUCTION MUSICALE LES MOYENS DE RAYONNER !

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Le Parlement a finalement adopté, dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances rectificative pour 2017, la prorogation du crédit d’impôt à la production phonographique pour une année supplémentaire.

Les producteurs de musique saluent cette décision, même s’il ne s’agit que d’une première étape à leurs yeux. En effet, et comme l’ont reflété les débats parlementaires, il est plus que jamais nécessaire d’inscrire ce dispositif fiscal dans la durée afin d’apporter une meilleure visibilité aux projets musicaux qui nécessitent plusieurs années de développements. À ce titre, les producteurs du SNEP, de l’UPFI et de la FELIN tiennent à remercier particulièrement les députés et sénateurs ayant défendu une prorogation du dispositif pour 3 années supplémentaires.

 Alors que la ministre de la Culture annonçait récemment ses intentions de porter un projet de filière autour de la création d’une maison commune de la musique, il serait dévastateur, pour la vitalité et la diversité musicale de notre pays, que la seule aide directe dont bénéficie la musique enregistrée soit fragilisée. L’ambition de ce projet politique ne peut se faire au détriment de tout ou partie des acteurs d’une filière musicale, qui se donne les moyens de s’adapter à la nouvelle donne numérique.

 Dans ce contexte d’incertitude, c’est avec détermination et confiance que les producteurs de musique démontreront, dans les prochains mois, la pleine utilité de cet outil fiscal pour continuer à stimuler la diversité musicale et le rayonnement de nos artistes, en France et à l’international.

 Nous attendons du Gouvernement qu’il confirme son soutien à la création musicale à l’occasion des prochains textes financiers.

 Contacts :

SNEP – Guillaume LEBLANC – 01 47 38 04 04 

UPFI  – Jérôme ROGER  – 01 53 57 66 43

FELIN – Philippe COUDERC  – 05 57 59 14 13

PLFR 2017 : ne sabordez pas la diversité musicale !

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La filière musicale unie dans sa diversité se mobilise aujourd’hui pour la prorogation du crédit d’impôt à la production phonographique, à l’occasion de l’examen en nouvelle lecture du projet de loi de finances rectificative pour 2017.

Dans sa grande sagesse, le Sénat a, la semaine dernière, rétabli la prorogation du dispositif pour 3 années supplémentaires à l’appui d’amendements soutenus par 84 sénateurs, en parfaite conformité avec l’engagement public pris par le Gouvernement ces dernières semaines.

Or, aujourd’hui, la pérennité de ce dispositif se trouve menacée par l’adoption ce lundi d’un amendement en commission des finances visant à réduire à une année la prorogation de cet outil fiscal d’accompagnement de la production musicale.

Pourtant, ce dispositif fiscal, a eu des effets décisifs sur l’économie de la production musicale au cours des 10 dernières années. Dans un contexte de crise majeure et inédite du secteur de la musique enregistrée, ce crédit d’impôt a en effet contribué à préserver la production locale et à conforter la diversité musicale à laquelle nous sommes très attachés.

En permettant à toute une génération de nouveaux talents de la chanson d’être enregistrés et proposés au public, puis pour certains de connaître le succès, les nombreux projets éligibles au crédit d’impôt portés par les sociétés de production phonographique ont un effet d’entraînement résolument positif sur l’ensemble de la filière de la musique.

Au moment où la ministre de la Culture a annoncé un projet politique structurant pour notre secteur, la filière musicale, dans toutes ses composantes, appelle donc aujourd’hui de ses vœux la prorogation de ce dispositif pour 3 années supplémentaires.

 Contact : Aude Tillette  – contact@tplmusique.org

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Alors que le Gouvernement avait plusieurs fois pris l’engagement public ces dernières semaines de proroger le crédit d’impôt phonographique pour trois années, c’est avec stupéfaction que les producteurs de musique du SNEP et de l’UPFI ont pris connaissance de la décision inattendue de l’Assemblée nationale de limiter cette prorogation à une seule année, à l’occasion de l’examen par l’Assemblée nationale du projet de loi de finances rectificative pour 2017.

 Ce dispositif fiscal, qui constitue la seule aide d’Etat dont bénéficie notre secteur, a pourtant eu des effets décisifs sur l’économie de la production musicale au cours des 10 dernières années. Dans un contexte de crise majeure et inédite du secteur de la musique enregistrée, ce crédit d’impôt a en effet contribué à préserver la production locale et à conforter la diversité musicale à laquelle nous sommes très attachés.

 D’un coût modique de 10 M€ par an, il rapporte de surcroît plus au budget de l’Etat qu’il ne pèse sur les finances publiques. Ainsi, sur une période récente (2015 et 2016), 1€ dépensé en crédit d’impôt génère près de 3€ de recettes pour l’Etat.

 Les producteurs phonographiques ont un fort besoin de visibilité sur le moyen terme afin de se projeter dans leurs investissements futurs concernant les nouveaux talents.

 C’est la raison pour laquelle nous appelons de nos vœux les sénateurs à affirmer un soutien plein et entier à la production musicale française et aux nouveaux talents en votant la prorogation de ce dispositif pour trois années supplémentaires, conformément aux engagements qui avaient été pris à l’égard de la filière.

 Contacts

SNEP – Guillaume LEBLANC : 01 47 38 04 04

UPFI – Jérôme ROGER           : 01 53 57 66 43

UN GÉANT S’EN EST ALLÉ

Un géant s’en est allé. S’il était dès les années 60 l’idole des jeunes, Johnny Hallyday fut depuis, le compagnon de toutes les générations. Il a chanté nos amours et nos peines, nos envies et nos colères, il a chanté nos vies, en criant, en murmurant, en émouvant.

Les producteurs de musique rendent hommage à un talent et une carrière hors norme. Ils saluent l’interprète qui a enregistré plus de 1300 chansons, qui a travaillé avec des centaines d’auteurs et compositeurs, s’entourant des plus grands talents et faisant siens les styles de chaque époque ; ils saluent celui qui a inspiré les créateurs et celui qui, infatigable, nous a rassemblés et nous a fait chanter depuis plus de cinquante ans.

Car au-delà des dizaines de disques d’or, de platine et de diamant, Johnny  était un fantastique homme de scène, qui avait tissé un lien exceptionnel avec son public par sa générosité, son énergie, ses émotions.

Johnny Hallyday était un homme et un artiste hors du commun, tout comme l’amour que lui portent les Français et la tristesse qui les étreint aujourd’hui.

                                                   Contact : Guillaume LEBLANC –  01 47 38 04 04              

GRAMMYS

 

4 décembre 2017

La filière salue les 7 nominations françaises aux Grammy Awards 2018, la plus prestigieuse cérémonie de récompenses musicales au monde dont la prochaine édition aura lieu le 28 janvier 2018 à New-York.

Tous Pour La Musique apporte son soutien et ses encouragements à Jain nommée pour Makeba dans la catégorie « meilleure vidéo musicale »; à Tinariwen pour Elwan dans la catégorie « meilleur album de musique du monde » ; à Raul Midon pour Bad Ass And Blind dans la catégorie « meilleur album de Jazz vocal » ; à Alexandre Tharaud pour Barbara et Benjamin Bleton pour le projet Les routes de l’esclavage, tous deux nommés dans la catégorie « meilleure compilation classique » ; à

Philippe Jaroussky pour Bach and Telemann et Barbara Hannigan pour Crazy Girl Crazy, tous deux sélectionnés dans la catégorie du « meilleur album, chanteur soliste » et enfin à Louis Langrée, avec le Cincinnati Symphony Orchestra, nommé pour l’album pour Concertos for Orchestra, dans la catégorie «meilleur spectacle pour orchestre».

Ces nominations témoignent de la richesse et de la diversité de la création musicale française, capable dans tous les genres, de faire rayonner notre pays dans le monde entier.

Elles soulignent le potentiel de développement international de la filière musicale française et le rôle stratégique joué par le Bureau Export en la matière.

Elles font écho de la plus belle des manières aux ambitions affichées lundi par la ministre de la Culture, dans le cadre de la présentation de son projet pour la musique, qui prévoit notamment le doublement de la dotation publique du Bureau Export dès 2018 et la progression de ses ressources pour les années suivantes. Tous Pour La Musique soutient et félicite les artistes nommés et leurs entourages professionnels pour ce très beau coup de projecteur sur la création française !

« Tous Pour la Musique » réunit l’ensemble des représentations professionnelles de la musique

Adresse postale : C/o SNEP – 14 Boulevard du Général Leclerc – 92200 NEUILLY SUR SEINE Site Internet : http://www.tplmusique.org – @TPLM Officiel

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Les producteurs du SNEP saluent les conclusions du rapport de Roch-Olivier Maistre et tiennent à le remercier pour le travail d’analyse et d’expertise accompli par la mission dont l’avait chargé la ministre de la Culture.

Le projet d’un Centre National de la Musique constitue une base de travail solide, afin de donner un nouvel élan à l’engagement des pouvoirs publics en faveur d’une filière musicale dont les attentes ont trop souvent été ignorées ou mises de côté. En témoigne notamment l’abandon brutal du premier projet de CNM lors du précédent quinquennat.

Le marché de la musique enregistrée poursuit sa mutation numérique pour répondre aux attentes des consommateurs, ce qui laisse entrevoir des perspectives de renouveau pour notre secteur. Pour autant, cette transition suscite des interrogations légitimes quant à la pérennité du tissu productif et à la diversité de notre production musicale.

C’est pourquoi la création d’un établissement public rénové, qui puisse accompagner le dynamisme de notre production locale, tant sur notre territoire que dans une stratégie internationale, peut constituer une réponse adaptée aux enjeux actuels.

Ce Centre National de la Musique ne pourra toutefois se déployer sans une volonté politique forte et un financement stable et pérenne. C’est là la première condition pour la réussite de ce projet politique ambitieux.

Gageons que la ministre Françoise Nyssen sera au rendez-vous des espoirs suscités pour cette dynamique nouvelle.

 

CONTACT :  Guillaume LEBLANC  – 01 47 38 04 04              

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Pour fêter et remercier les 10 000 followers du @snep, nous vous offrons chaque mois un abonnement streaming premium.

Comment participer ? C’est très simple !

Suivez notre compte Twitter de très près. A l’annonce du jeu, il vous suffira de nous retwitter (en gardant bien le hashtag #JeuSNEP) et le gagnant sera désigné le vendredi à 17H.

Merci à nos deux partenaires Deezer et Spotify !

Et si vous ne nous suivez pas sur Twitter, il n’est jamais trop tard. Nous décortiquons l’actualité musique et business de la musique au quotidien. Nouvelles technologies, streaming, rémunérations des artistes… le spectre traité s’adresse à tous les professionnels de la musique et des médias. Et bien sûr, vous y découvrirez en premier les Tops et les certifications.

Le streaming en France

Chaque semaine, près de 750 millions d’écoutes sont effectuées sur les plateformes de streaming audio en France, et vous êtes de plus en plus nombreux à adopter cet usage pour écouter la musique… Nous passerons en 2017 le cap des 4 millions d’abonnés !

TPLM SE MOBILISE POUR LE BUREAU EXPORT

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A la veille de l’examen par la commission élargie de l’Assemblée nationale des crédits de la mission médias, livre et industries culturelles, la filière musicale, dans toutes ses composantes, appelle unanimement le Gouvernement et le Parlement à modifier le projet de loi de finances pour 2018, afin de relever de 2,5 M€ supplémentaires la dotation publique du Bureau Export de la Musique.

L’explosion du streaming et les évolutions récentes de l’économie de la production de spectacles révolutionnent l’industrie mondiale de la musique. En faisant tomber les barrières à l’entrée des différents marchés et en développant de nouveaux usages, elles ouvrent des perspectives inédites pour l’ensemble de la filière mais présentent également des risques réels en matière de diversité. Pour la France, l’enjeu des cinq années à venir est donc crucial : prendre les positions qui lui permettront à horizon 2030 d’assurer le rayonnement de ses artistes et le développement d’un écosystème vertueux, garant d’une création riche et diversifiée. Pour mémoire, l’export représente déjà plus de 20 % des revenus des producteurs de spectacles et près du quart de celui des labels indépendants. Au global, la filière a généré un volume d’affaires de 628 M€ à l’international en 2016.

Pour autant, le Bureau Export, seul outil commun à tous les acteurs de la filière, assurant veille de marchés, présence des artistes dans plus de quatre-vingts événements dans le monde et soutien financier à leurs projets d’export, dispose de moyens insuffisants pour accompagner les professionnels dans la structuration de leur stratégie export. A titre d’exemple, l’association ne dispose que d’un budget de 1,2 M€ pour soutenir financièrement les projets exports des professionnels.

La filière musicale se bat depuis des années pour que le Bureau Export dispose enfin des ressources lui permettant d’assurer ses missions. Par la voix de Tous Pour La Musique, elle a fait de l’augmentation de 5 M€ du budget de l’association une de ses 13 propositions à destination des candidats à l’élection présidentielle.

La ministre de la Culture a apporté une première réponse en proposant au Parlement, dans le projet de loi de finances, pour 2018 de relever de 800 K€ la subvention allouée par son ministère au Bureau Export. Dans un contexte budgétaire très contraint, cette annonce démontre l’attention que la ministre et le gouvernement portent à cette question. Ces crédits supplémentaires permettront enfin à l’association de disposer de ressources stables pour financer son activité courante. Toutefois, compte tenu de la rapidité avec laquelle évolue le marché mondial de la musique, la filière française ne peut se satisfaire du dimensionnement actuel du Bureau Export. Elle demande donc instamment au gouvernement et au Parlement de relever la dotation publique de l’association de 2,5 M€ supplémentaires, pour renforcer le dispositif d’aides, avant de porter progressivement le budget du Bureau Export à 10 M€ à horizon 2020.

Alors que la filière est dans l’attente des suites de la mission sur la « maison commune de la musique », un renforcement significatif des moyens du Bureau Export constituerait un signal fort de l’ambition des pouvoirs publics en matière de musique.

Contact : Sandra Valerii – 01 47 15 45 92 – service.de.presse@sacem.fr

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