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L
es producteurs phonographiques, membres du SNEP, se félicitent du déploiement hebdomadaire du TOP sur les antennes et journaux du groupe Lagardère Active et notamment de son retour sur Europe 1 depuis septembre dernier.

Cette diffusion pluri médias des principaux classements de musique enregistrée (CDs + ventes digitales) en France donne une nouvelle exposition à l’information de référence en matière de succès musicaux auprès du public.

Le SNEP et le groupe Lagardère Active s’associent pour proposer une offre de visibilité originale attractive et moderne à une marque « partenaire du TOP » à travers sept supports complémentaires qui associent chaînes de télévision hertzienne, numérique terrestre, cabsat, radio, presse mais aussi le web.

L’engouement des français pour la musique et son classement a encore pu être vérifié le 27 octobre car “Les 25 ans du Top 50”, sur France 2, ont attiré 20,4% des téléspectateurs, plaçant ainsi la chaîne en deuxième position.

SNEP                                                                   Lagardère Active
Christophe Lameignère     Didier Quillot

BILAN DE LA DIFFUSION DES TITRES EN RADIO  – 1er SEMESTRE 2009
 N° 1 du classement général
et n°1 du classement francophone :
Magic System feat. Khaled «Même pas fatigué !!! »
Artop Records
 Artiste le plus diffusé : Jason Mraz
Wea
 LES INDICATEURS CLES DES DIFFUSIONS DU 1ER SEMESTRE 2009
PART DES DIFFUSIONS FRANCOPHONES (24h/24h, pondérées par l’audience) : 43.2 % (contre 44.8% au 1er semestre 2008, 44.9% en 2007, 45.7% en 2006 et 45% en 2005).
NOMBRE TOTAL DE TITRES DIFFERENTS DIFFUSES : 48 840 (?1.4 % par rapport au 1er semestre 2008) dont :
 Titres Francophones 22 % (+1 point par rapport au 1er semestre 2008)
 Titres Internationaux 57 % (égal au 1er semestre 2008)
 Titres Instrumentaux 21 % (?1 point par rapport au 1er semestre 2008)

ROTATION MOYENNE HEBDOMADAIRE PAR TITRE (24h/24h) :

 Titres Francophones 5.6 diffusions (5.9 au 1er sem.2008, 6.3 en 2007, 6.4 en 2005)

 Titres Internationaux 3.8 diffusions (4 au 1er sem. 2008 comme en 2007, 4.3 en 2006 et 4.9 en 2005)

NOMBRE TOTAL D’ENTREES EN PLAY LIST : 1 696 titres (?6.3 % par rapport au 1er semestre 2008), dont :
  Titres Francophones : 486 titres soit 29 % des entrées (30% en 2008, 35% en 2007, 36% en 2006 et 31 %en 2005)
PART DES NOUVEAUTES (mise en radio antérieure à un an) AU SEIN DES DIFFUSIONS :
 Sans pondération par l’audience : 58 % (égal au 1er sem. 2008, 58% en 2007, 60% en 2006 et 51 % en 2005)
 Avec pondération par l’audience : 50 % (51% au 1er sem. 2008, 49% en 2007, 51% en 2006 et 45% en 2005).
LES TABLEAUX DE BORD DE LA PRODUCTION FRANCOPHONE
1er semestre 2009

 453 albums ont été commercialisés au cours de ce semestre (?22 % par rapport au premier semestre 2008). Ces 453 albums se décomposent en 107 albums francophones (?4 %), 176 albums internationaux (?33%) et 170 compilations (?18%).

 Le nombre de singles commercialisés chute de 25 % : cette baisse touche plus fortement les singles internationaux (-35 %) que les singles francophones (-11 %).
   Les nouveaux talents francophones regagnent du terrain : ils représentent 14 % des commercialisations d’albums (10 % en 2008) et 30 % des commercialisations de singles (23 % en 2008).
  Le solde des nouvelles signatures d’artistes est dans le rouge : un déficit de 12 nouveaux artistes au premier semestre 2009 contre un solde positif de 2 artistes en 2008, 11 en 2007, 34 en 2006 et 68 en 2002.

 Les investissements marketing et promotion chutent de 9 %, dont -2% pour la variété francophone et -26 % pour la variété internationale.

LE MARCHE DE GROS DE LA MUSIQUE ENREGISTREE : NEUF PREMIERS MOIS DE L’ANNEE 2009
(Valeur gros H.T. nette de remises)
347 millions d’euros : -9.3 %
(comparatif 9 premiers mois 2008)
 Au cours des 9 premiers mois de l’année 2009, le marché de gros de la musique enregistrée a représenté 347 millions d’euros en baisse de 9.3 % par rapport à 2008 pour la même période.
 Le marché physique : -11.4 % et 84 % du marché de la musique enregistrée
Le marché numérique : + 3.5 % et 16 % du marché de la musique enregistrée

 Le marché des 9 premiers mois 2009 est marqué par un double ralentissement :

 ralentissement de la chute du marché physique (-11.4 % contre -19.6 % en 2008 pour la même période),

 stagnation de la croissance des ventes numériques (+3.5 % contre + 52 % en 2008 pour la même période).

VENTES DE SUPPORTS
Neuf premiers mois de l’année 2009

291.7 millions d’euros : -11.4 %

 

Les ventes gros éditeurs H.T. des neuf premiers mois de l’année 2009 ont représenté un chiffre d’affaires de 291.7 millions d’euros en baisse de 11.4 % par rapport à 2008 et de 65.2 % par rapport à 2002.
A sept années d’intervalle, les ventes de supports auront donc été divisées par 3.
L’évolution du chiffre d’affaires physique (-11.4%) se décompose en -12% pour les ventes audio et -2 % pour les ventes vidéo
Les ventes d’albums, en baisse de -11%, représentent 98 % du chiffre d’affaires audio (et 2 % pour les ventes de singles).
La baisse du marché physique se concentre sur la variété francophone dont le chiffre d’affaires chute de 21 %. La baisse du répertoire classique est deux fois moins importante (-11 %). Le répertoire international est en hausse de 5.6 % en raison de l’actualité.
LES VENTES DE SUPPORTS EN FRANCE
(vente gros H.T. nettes de remises)
CUMUL A FIN SEPTEMBRE 2009
VENTES NUMERIQUES
Neuf premiers mois de l’année 2009
55.3 millions d’euros : + 3.5 % en valeur
Les revenus numériques des éditeurs phonographiques des 9 premiers mois 2009 ont représenté 55.3 millions d’euros en progression de 3.5 % par rapport aux 9 premiers mois 2008.
Au sein du marché numérique : 55.3 millions d’euros :
les revenus du téléchargement représentent 27 millions d’euros soit 49 % des revenus numériques, (18.4 millions d’euros et 34 % des revenus en 2008 pour la même période),
les revenus de la téléphonie mobile représentent 14.4 millions d’euros soit 26 % des revenus numériques, (23.9 millions d’euros et 45 % des revenus en 2008 pour la même période),
les autres revenus (streaming et abonnement) totalisent 13.8 millions d’euros soit 25 % des revenus numériques, (11.16 million d’euros et 21 % des revenus en 2008 pour la même période).
Au cours des 9 premiers mois 2009 :
Le marché téléchargement internet progresse de 47 % et s’établit à 27 millions d’euros : cette progression est imputable au marché des albums (+55.8 %) comme au téléchargement de titres (+32.1 %).
Les ventes via la téléphonie mobile baissent de 39 %  (dont -15 % pour les sonneries et -45% pour les titres musicaux).
Les revenus du streaming atteignent 7 millions d’euros, près du triple du montant constaté sur les 9 premiers mois de l’année précédente.
Au total, les ventes à la carte représentent 48.5 millions d’euros (+8 %) soit 87 % des revenus numériques.
Les revenus des abonnements chutent de 20 %.
Cette baisse est imputable aux revenus des souscriptions mobile (-41 %).
Les revenus des souscriptions internet progressent de 20 %.
LES MEILLEURES VENTES DU 1er SEMESTRE 2009
 Meilleure vente de Single
Dans les magasins En téléchargement
Mikelangelo Loconte
« Tatoue-moi»

          Warner/Warner Music France
 (non classé en téléchargement)

Helmut Fritz
« Ca m’énerve»
Sony Music Strategic marketing
(2ème dans les magasins)
21 des 50 titres (42 %) les plus vendus en magasins sont également présents dans le Top Téléchargement

Part des titres francophones

 

                  TOP 50 magasins             
42%

TOP 50 téléchargement      

 

36%

 

 Meilleure vente d’Album
Dans les magasins    En téléchargement      
LES ENFOIRES
« Les Enfoirés font leur cinéma 2009 »
ULM/Universal Music France
(3ème en téléchargement)  
Charlie Winston
« Hobo »
Atmosphériques
(5ème dans les magasins) 
28 des 50 albums (56 %) les plus vendus en magasins sont également présents dans le Top Téléchargement

Part des titres francophones

 

                  TOP 50 magasins             
50%

TOP 50 téléchargement      

 

33%

 

 Téléchargez ici les classements du premier semestre 2009 : janvier à juin

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE
SACEM, CSDEM, SNEP, SCPP, UPFI, SPPF

A la veille de son vote solennel à l’Assemblée Nationale, les créateurs, les éditeurs et les producteurs tiennent à rappeler leur plein soutien au projet de loi relatif à la protection pénale de la propriété littéraire et artistique sur Internet («Hadopi 2»), défendu par Frédéric Mitterrand, Ministre de la Culture et de la Communication.

L’ensemble des acteurs de la filière musicale s’est mobilisé avec détermination depuis des mois, en faveur de ce dispositif de régulation des échanges sur Internet, qui devrait mettre un terme à des années de laissez faire traduites par une dégradation majeure des revenus de tous.

Issue d’un long processus de réflexion et de concertation, cette loi réaffirme la nécessité du respect du droit des créateurs à vivre de leurs œuvres et des industries culturelles à vivre de leurs métiers.

Dans la mesure où chaque mois qui passe confirme une aggravation de la situation économique de la filière, les professionnels de la musique estiment fondamental de mettre en œuvre cette loi dans les plus brefs délais.

 


Contacts :

 Snep : David  El Sayegh/ 01 44 13 66 66

 Sacem : Elisabeth Anselin / 01 47 15 45 32

 Csdem : Nelly Quérol / 01 48 74 09 29

 Upfi : Jérôme Roger / 01 53 77 66 40

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UNE REGLEMENTATION SUR INTERNET CA MARCHE : LA PREUVE PAR LA SUEDE

Les détracteurs du projet de loi « Création & Internet » affirment que cette loi ne créera aucune richesse pour la filière musicale.
Cette assertion est démentie par l’expérience suédoise.

En effetà la fin du premier trimestre 2009 la Suède adoptait une législation en vue de lutter contre le piratage sur Internet. Ce nouveau dispositif a entraîné une baisse spectaculaire de la consommation de la bande passante dans les jours qui ont suivi son adoption. Mais surtout, la mise en œuvre d’une régulation de l’Internet a eu des effets immédiats sur le marché de la musique enregistrée en Suède : les ventes de musique en ligne ont augmenté au deuxième trimestre 2009 de 78% par rapport au deuxième trimestre de l’année précédente. De même, le marché des supports physiques a connu une progression de 0,4% sur la même période.

Le rythme de croissance du digital en Suède a plus que doublé en l’espace de trois mois.

En revanche, la France qui attend toujours une législation adaptée pour lutter contre les échanges illicites sur Internet voit son marché décroître pour la septième année consécutive de 20%.

Il est donc plus qu’urgent que la loi sur la protection pénale de la propriété littéraire et artistique soit adoptée pour que les offres légales de musique en ligne aient enfin une vraie chance de se développer dans notre pays.


Pour toute information, contact :

 David El Sayegh – 01 44 13 66 66

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Les producteurs de musique tiennent à exprimer leur profonde consternation à la suite  des déclarations de la Ministre de la Culture concernant l’abandon du projet de Centre National de la musique.

En sacrifiant le CNM, qui avait pourtant fait l’objet d’un consensus au sein de toute la filière musicale, Madame Filippetti trahit sa propre parole, alors même qu’elle avait affirmé aux professionnels en juillet dernier vouloir soutenir cette initiative.

La Ministre trahit également l’engagement de campagne du Président de la République, qui avait clairement affirmé son intention  de poursuivre le chantier du CNM.

Les producteurs de musique enregistrée, rappelons-le, ont perdu plus de 60% de leur chiffre d’affaires ces dix dernières années, et sont atterrés de la volte face de la Ministre, qui feint d’ignorer la crise profonde qui frappe ce secteur.

Les producteurs de musique ne sauraient accepter comme mesure  compensatoire  à cet abandon, le renforcement d’un crédit d’impôt au profit des seuls producteurs indépendants.

Il s’agit d’une discrimination inacceptable pour les artistes produits par les majors qui participent tout autant à la diversité culturelle que ceux développés par les producteurs indépendants.

Les producteurs de musique en appellent au Président de la République et au Premier Ministre pour que soit revue la position de la rue de Valois, à la lumière du travail déjà accompli, de la pertinence d’un projet porté par l’ensemble d’une filière et des engagements de soutien pris pendant la campagne présidentielle.


Contact : David El Sayegh 01 47 38 04 04

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UNE REGLEMENTATION SUR INTERNET CA MARCHE : LA PREUVE PAR LA SUEDE

Les détracteurs du projet de loi « Création & Internet » affirment que cette loi ne créera aucune richesse pour la filière musicale.
Cette assertion est démentie par l’expérience suédoise.

En effetà la fin du premier trimestre 2009 la Suède adoptait une législation en vue de lutter contre le piratage sur Internet. Ce nouveau dispositif a entraîné une baisse spectaculaire de la consommation de la bande passante dans les jours qui ont suivi son adoption. Mais surtout, la mise en œuvre d’une régulation de l’Internet a eu des effets immédiats sur le marché de la musique enregistrée en Suède : les ventes de musique en ligne ont augmenté au deuxième trimestre 2009 de 78% par rapport au deuxième trimestre de l’année précédente. De même, le marché des supports physiques a connu une progression de 0,4% sur la même période.

Le rythme de croissance du digital en Suède a plus que doublé en l’espace de trois mois.

En revanche, la France qui attend toujours une législation adaptée pour lutter contre les échanges illicites sur Internet voit son marché décroître pour la septième année consécutive de 20%.

Il est donc plus qu’urgent que la loi sur la protection pénale de la propriété littéraire et artistique soit adoptée pour que les offres légales de musique en ligne aient enfin une vraie chance de se développer dans notre pays.


Pour toute information, contact :

 David El Sayegh – 01 44 13 66 66